Les lois relatives aux 35 heures ont le mérite d’ouvrir des débats nouveaux. Sur l’organisation du travail, sur la flexibilité, sur les compétences, et donc sur la formation. De plus en plus d’accords signés dans les branches comme dans les entreprises abordent cette question. Bernard Brunhes Consultants décortique dans cette étude bon nombre de ces accords et présente des exemples concrets d’entreprises. Les innovations dans le domaine de la formation y sont nombreuses ; elles montrent le besoin de renouvellement dans ce domaine. Les entreprises signataires veulent mener de nouvelles expériences en ce qui concerne les temps et les types de formation. Certaines actions seront organisées en s’appuyant sur un principe de co-responsabilité ou de co-investissement. Mais cette démarche pose des questions : s’agit-il d’accroître l’effort de formation ou de minimiser l’impact de la réduction du temps de travail ? Quelles formations pourraient entrer dans le cadre d’un dispositif de co-investissement ? Quelles règles du jeu faut-il prévoir pour éviter les dérives et les rigidités ? Sur ces questions, les accords signés sont riches d’enseignements. En tout cas, la plupart des définitions et les lignes de partage entre les différents types de formation commencent à être inopérantes. Danielle Kaisergruber - Jolanta Dorrer - Marc Grosser - Marc Knoll - Frédérique Llory Téléchargement des Cahiers n°3 du Groupe Bernard Brunhes Sommaire
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